Logo - Les Affaires
Logo - Les Affaires
  • Accueil
  • |
  • Les titres boursiers qui ont retenu l’attention cette semaine

Les titres boursiers qui ont retenu l’attention cette semaine

lesaffaires.com|Mis à jour le 24 janvier 2024

Les titres boursiers qui ont retenu l’attention cette semaine
BRP (DOO-T, 118,17$, DOOO-N, 94,02 $US): plein gaz
Malgré un inventaire réduit, BRP est parvenue à dépasser les attentes des analystes au cours du deuxième trimestre de son exercice de 2022, et elle compte bien poursuivre sur ce sentier malgré les embûches qui pointent à l’horizon, croit Brian Morrison de TD Securities.

Quels titres boursiers et rapports d’analystes ont retenu l’attention cette semaine? Voici une revue de presse qui regroupe divers textes boursiers.

 

15 novembre

 

Dans les Titres en action:

  • Le spécialiste des bureaux partagés WeWork (WE, 9,33 $US) montait à Wall Street lundi après avoir fait part d’une réduction de ses pertes au troisième trimestre et d’une légère progression du taux d’occupation de ses locaux.  L’action de l’entreprise, qui dévoilait ses premiers résultats trimestriels depuis son arrivée en Bourse en octobre, prenait 2,07%, à 9,37 $US, à la mi-séance après avoir gagné plus de 6% dans les premiers échanges. WeWork, qui gère 764 sites dans 38 pays, a enregistré une perte nette de 802 millions de $US au troisième trimestre, contre 941 millions un an plus tôt. Son chiffre d’affaires a reculé de 18% par rapport à la même période en 2020, à 661 millions de $US, mais a augmenté de 11% par rapport au deuxième trimestre. Alors que son activité pâtit depuis le début de la pandémie du recours accru au télétravail, WeWork a aussi vu son taux d’occupation passer de 56% fin septembre, à 59% en octobre. WeWork a fusionné le 20 octobre avec la société déjà cotée BowX et a fait ses premiers pas à la Bourse de New York le lendemain à un prix la valorisant à 9 milliards de $US, soit bien loin des 47 milliards de valorisation théorique visés en janvier 2019. Après une arrivée saluée à Wall Street par une hausse de 13% le 21 octobre, le titre de WeWork était depuis redescendu, passant sous la barre des 10 $US du prix d’introduction en Bourse de BowX.
  • Great-West Lifeco (GWO.TO, 38,67$) augmente son dividende trimestriel aux actionnaires de 12%. La compagnie d’assurance a annoncé avoir déclaré un dividende supplémentaire de 5,2 cents par action, payable le 31 décembre aux actionnaires inscrits à la fermeture le 3 décembre. Combiné à son dividende de 43,8 cents par action annoncé le 3 novembre, la Great-West versera un dividende trimestriel total de 49 cents par action. Le 4 novembre, le Bureau du surintendant des institutions financières a levé les restrictions liées à la COVID-19 qui empêchaient les banques et les assureurs sous réglementation fédérale d’augmenter les dividendes et de racheter des actions. La Great-West affirme avoir fixé une fourchette cible de ratio de distribution de dividendes de 45 à 55% de son bénéfice fondamental. Le chef de la direction de la Great-West, Paul Mahon, a déclaré que la nouvelle fourchette cible de distribution de dividendes soutient une approche équilibrée des augmentations de dividendes conformément à la croissance attendue des bénéfices tout en maintenant la solidité financière.
  • Restaurant Brands International (QRS.TO, 72,53 $) annonce qu’elle fait l’acquisition de la chaîne de restauration rapide américaine Firehouse Subs pour 1 milliard $ US. L’entreprise torontoise derrière Tim Hortons, Burger King et Popeyes affirme que le restaurant de sandwichs est un joueur solide et en croissance dans l’industrie de la restauration rapide, avec un potentiel substantiel de croissance à long terme. Elle note que Firehouse Subs a triplé son nombre de restaurants à environ 1200 emplacements depuis 2010, tandis que ses ventes ont quadruplé pour atteindre environ 1,1 milliard $ US prévu pour 2021. Restaurant Brands affirme que Firehouse Subs bénéficie d’une solide famille de franchisés qui possèdent et exploitent 97% des restaurants de la marque dans 46 États américains, au Canada et à Porto Rico. La chaîne de sandwichs a été fondée à Jacksonville, en Floride, en 1994 par les frères et anciens pompiers Chris et Robin Sorensen. Le PDG de Restaurant Brands, José Cil, a déclaré que Firehouse Subs était une marque spéciale avec une équipe talentueuse, une culture impressionnante et une orientation communautaire qui résonne avec les clients.
  • Le géant anglo-néerlandais des hydrocarbures Royal Dutch Shell (RDS-A, 44,74 $US) a annoncé lundi vouloir transférer son siège et sa résidence fiscale des Pays-Bas vers le Royaume-Uni, une décision fustigée par le gouvernement néerlandais. Le groupe souhaite simplifier sa structure et «aligner sa résidence fiscale avec le pays dans lequel il est enregistré, le Royaume-Uni», où il relocaliserait aussi ses instances dirigeantes, d’après un communiqué. Le gouvernement néerlandais s’est dit lundi «désagréablement surpris» et «regrette profondément» cette décision, a déclaré le ministre des Affaires économiques, Stef Blok, sur Twitter. Royal Dutch serait aussi retiré du nom pour la première fois en 130 ans. «Nous sommes en discussions avec Shell au sujet des implications de ce transfert en termes d’emplois, d’investissements à caractère stratégique ou de durabilité», a ajouté M. Blok. Cette décision faisait les gros titres des médias néerlandais lundi, qui déploraient la perte d’une autre entreprise après Unilever, un autre groupe anglo-néerlandais dont les actionnaires aux Pays-Bas avaient voté fin 2020 en faveur d’une société mère unique basée à Londres, dans un contexte politique post-Brexit. Les actionnaires devront se prononcer le 10 décembre au cours d’une assemblée générale à Rotterdam, aux Pays-Bas, sur les modifications proposées, qui incluent aussi la création d’une série unique d’actions, alors que le groupe était coté jusqu’ici via deux types de titres, Class A et Class B.
  • Le géant néerlandais de la bière Heineken (HEIA.AS, 98,20 €) va racheter le sud-africain Distell qui produit certaines des boissons emblématiques du pays d’Afrique australe, pour 2,2 milliards d’euros, a annoncé le groupe lundi dans un communiqué. Le groupe doit racheter la majorité des parts de l’entreprise qui produit notamment l’Amarula, le cidre Savanna et le vin Nederburg. Heineken, deuxième plus gros brasseur du monde derrière le belgo-brésilien Anheuser-Busch InBev qui détient 500 marques dans le monde, prévoit aussi de racheter Namibia Breweries. L’objectif est de créer «un champion régional dans le secteur des boissons» en regroupant ces entités, a expliqué le PDG de Heineken, Dolf van den Brink, cité dans le communiqué. Les deux opérations combinées pèseront environ quatre milliards d’euros. Anheuser-Busch InBev, qui détient une part estimée en volume à environ 80% du marché de la bière en Afrique du Sud, a racheté South African Breweries en 2016.

 

À surveiller

Alithya (ALYA, 3,62 $): recommandation d’achat chez Desjardins. Depuis que Kevin Krishnaratne, analyste chez Desjardins, a repris la couverture de l’entreprise de Montréal spécialisée en stratégie et en technologies numériques, celle-ci a surpassé les prévisions de revenus au cours des 3 derniers trimestres et a vu sa croissance organique s’accélérer à un rythme plus rapide en général que celui des entreprises du secteur de la technologie de l’information.

CAE (CAE, 37,35 $): les investisseurs devront être patients. À la suite des résultats du 2e trimestre qui ont raté quelque peu ses cibles, l’analyste Tim James, de Valeurs mobilières TD, maintient sa recommandation de «conserver» les actions du spécialiste des technologies de simulation et de modélisation, mais il réduit son cours cible de 42,00$ à 39,00$.

WSP Global (WSP, 181,00 $): un titre déjà très cher. Compte tenu de la vigueur de l’industrie, nul doute que WSP Global, de Montréal, est très bien placée pour profiter des investissements qui abondent actuellement dans plusieurs de ses principaux marchés.

 

Pour consulter les titres du 16 novembre, cliquez suivant.

16 novembre

 

Dans les Titres en action:

  • Le géant américain de la distribution Walmart (WMT, 146,91 $US) a relevé ses prévisions annuelles mardi après avoir fait part de résultats trimestriels meilleurs que prévu et assuré avoir, à l’approche des fêtes, plus d’inventaires que l’an dernier. Le chiffre d’affaires de la chaîne de magasins a progressé de 4,3% à 140,5 milliards de dollars américains sur les trois mois se terminant fin octobre, porté notamment par des ventes à nombre d’établissements comparables en hausse de 9,2% aux États-Unis. Le bénéfice net du groupe a en revanche reculé de 40% à 3,1 milliards de dollars, mais rapporté par action et hors éléments exceptionnels, la mesure préférée des investisseurs de Wall Street, il s’affiche à 1,45 $US, soit au-delà des 1,40 $US attendu. Pour l’ensemble de son année décalée, le groupe attend désormais un bénéfice par action de 6,40 dollars, contre 6,20 à 6,35 dollars auparavant. Le coût de revient de l’entreprise a baissé de 4 points de pourcentage en raison de ventes plus élevées et de dépenses liées à la COVID-19 moins importantes. Walmart souligne toutefois avoir accru ses dépenses salariales, le groupe ayant augmenté 565 000 salariés d’au moins un dollar de l’heure en septembre. Alors que les problèmes d’approvisionnement affectent de nombreux magasins, alimentant les craintes sur la disponibilité de certains produits pour Noël, la chaîne de supermarchés assure par ailleurs que ses inventaires sont en hausse de 11,5% par rapport à la même période l’an dernier.
  • Home Depot (HD, 371,08 $US), spécialisé dans les équipements de maison, a fait part mardi d’une progression de près de 10% de ses ventes au troisième trimestre et d’un peu plus de 20% de son bénéfice net, profitant d’une demande solide pour ses produits et services. Le bénéfice net de la chaîne de magasins s’est élevé à 4,13 milliards de dollars américains. Rapporté par action et hors éléments exceptionnels, le bénéfice est de 3,92 $US, plus que les 3,40 $US anticipés par les analystes. Le chiffre d’affaires du groupe a atteint 36,82 G$ US entre juillet et septembre, davantage que les 33,54 milliards de l’année dernière (+9,8%) et là aussi mieux que les 35,01 milliards attendus par le marché. À nombre de magasins équivalents, les recettes ont augmenté de 5,5% aux États-Unis et de 6,1% dans le monde. En plus des États-Unis, Home Depot est présent au Canada et au Mexique. Le nombre de transactions dans les enseignes du groupe a néanmoins reculé de 5,5% en un an, passant de 453,2 millions à 428,2 millions. Ce recul a été compensé par la hausse des dépenses en magasin: en moyenne, les clients ont déboursé 82,38 dollars par visite, soit 12,9% de plus que l’année dernière.
  • Le groupe britannique de téléphonie Vodafone (VOD, 15,38 $US) a relevé mardi ses prévisions pour l’année, après un rebond de son chiffre d’affaires sur son premier semestre décalé, grâce notamment aux recettes d’itinérance, et ce malgré un bénéfice net en berne. Le bénéfice net a diminué de près de 22%, à 996 millions d’euros, contre 1,27 milliard un an plus tôt, quand le groupe avait enregistré un gain exceptionnel d’un milliard d’euros provenant de la fusion de Vodafone Hutchison Australia avec TPG Telecom Limited. Le chiffre d’affaires de l’opérateur a poursuivi, sur les six mois achevés fin septembre, le rebond entamé au premier trimestre, gagnant 5% sur un an, à 22,5 milliards d’euros. La progression des revenus des services a atteint 2,8% sur la période, précise le groupe, qui relève «une bonne performance en Allemagne». Fort de ses résultats, Vodafone a annoncé une amélioration de ses prévisions sur l’année. Il envisage notamment désormais un bénéfice d’exploitation entre 15,2 et 15,4 milliards d’euros (contre une précédente estimation entre 15 et 15,4 milliards).

 

À surveiller

Alimentation Couche-Tard (ATD.B, 50,51 $): EG Group est-elle à vendre?. Alimentation Couche-Tard diffusera ses résultats financiers du second trimestre de son exercice 2022 le 23 novembre et l’analyste Vishal Shreedhar, de la Financière Banque Nationale, s’attend à un bénéfice par action de 0,67 $, supérieur à celui du consensus des analystes de 0,65 $.

Boralex (BLX, 38,02 $): le temps est un allié si l’inflation est transitoire. Le producteur d’énergie renouvelable Boralex peut gérer les pressions inflationnistes, à condition que celles-ci soient transitoires, selon l’analyste Nelson NG, de RBC Marchés des capitaux.

Lion Électrique (LEV, 12,17 $US): aucun manufacturier n’est épargné par les problèmes de chaîne d’approvisionnement. Le fabricant d’autobus et de véhicules lourds électriques Lion Électrique a dévoilé des résultats du troisième trimestre sous les prévisions des analystes, mais cela n’inquiète pas trop l’analyste Mark Neville, de la Banque Scotia. Du moins pour le moment.

 

Pour consulter les titres du 17 novembre, cliquez suivant.

17 novembre

 

Dans les Titres en action:

  • Les Compagnies Loblaw (L.TO, 97,89 $) ont surpassé les attentes au troisième trimestre, en faisant état mercredi d’un profit en hausse par rapport à la même période l’an dernier, soutenu par la solide dans ses magasins et en ligne. La plus grande chaîne d’épiceries et de pharmacies au Canada a réalisé un bénéfice attribuable aux actionnaires ordinaires de 431 millions $, ou 1,27 $ par action, pour la période de 16 semaines close le 9 octobre. En comparaison, Loblaw avait engrangé un profit de 342 millions $, ou 96 cents par action, pour la même période l’an dernier. Les revenus trimestriels ont totalisé 16,05 milliards $, un chiffre d’affaires en hausse par rapport à celui de 15,67 milliards $ réalisé un an plus tôt. En excluant les éléments non récurrents, Loblaw a fait état d’un profit ajusté de 1,59 $ par action, en hausse par rapport à celui de 1,28 $ du troisième trimestre de l’an dernier. Les analystes attendaient en moyenne un bénéfice ajusté de 1,48 $ par action, réalisé à partir de revenus de 15,89 milliards $, selon les prévisions recueillies par la firme de données financières Refinitiv. 
  • Aliments High Liner (HLF.TO, 13,89 $) a annoncé mercredi qu’il hausserait son dividende de 43%, alors qu’il affichait un bénéfice du troisième trimestre plus de deux fois plus important que celui de la même période l’an dernier. Le producteur néo-écossais de fruits de mer surgelés a indiqué qu’il verserait un dividende trimestriel de 10 cents par action, en hausse par rapport à celui de 7 cents versé au dernier trimestre. High Liner a réalisé un profit de 9,2 millions $US, ou 26 cents US par action, au cours du trimestre clos le 2 octobre, en hausse par rapport à celui de 3,8 millions $US, ou 11 cents US par action, pour la même période l’an dernier. Les ventes ont totalisé 214,3 millions $US, alors qu’elles avaient été de 194,6 millions $US au troisième trimestre de l’an dernier. En excluant les éléments non récurrents, High Liner a enregistré un profit ajusté de 32 cents US par action au plus récent trimestre, alors qu’il avait été de 18 cents US par action un an plus tôt. Les analystes attendaient en moyenne un profit ajusté de 23 cents US par action, réalisé à partir de revenus de 206,5 millions $US, selon les prévisions recueillies par la firme de données financières Refinitiv.
  • Le géant internet Amazon (AMZN, 3 532,40 $US) a annoncé mercredi qu’il n’accepterait plus les paiements par cartes de crédit Visa (V, 2014 $US) émises au Royaume-Uni à compter du 19 janvier 2022, pointant les «frais élevés» pratiqués par l’entreprise américaine de services de paiement. «Ces frais devraient baisser avec le temps, alors que les technologies progressent, mais les coûts restent élevés, voire augmentent», a pointé Amazon mercredi dans un communiqué, ajoutant vouloir «continuer d’innover (…) pour ajouter et promouvoir des options de paiement plus rapides, moins chères et plus inclusives». Dans un courriel envoyé à ses clients, Amazon précisait que les cartes de débit Visa ou les cartes de crédit fournies par d’autres entreprises «comme Mastercard, Amex et Eurocard» pourraient toujours être utilisées. L’entreprise américaine Visa s’est dite mercredi «très déçue» de la décision d’Amazon. «Lorsque le choix du consommateur est limité, personne ne gagne», a réagi l’entreprise dans un communiqué. «Nous continuons de travailler» avec Amazon pour résoudre le problème, afin que les titulaires de cartes Visa puissent continuer à «utiliser leurs cartes sur Amazon au Royaume-Uni sans restrictions en janvier 2022», précise le communiqué.
  • L’action de Marché Goodfood (FOOD.TO, 4,96 $) perdait près de 30% mercredi matin, après que l’entreprise montréalaise a reconnu que l’assouplissement des mesures sanitaires avait freiné sa croissance cet été. Le spécialiste des mets prêts à cuisiner espère que l’épicerie en ligne redonnera un élan à ses activités. La saison estivale est généralement une période plus creuse pour la société. Les assouplissements aux mesures sanitaires au Canada ont accentué le phénomène, a expliqué le cofondateur et chef de la direction de Goodfood, Jonathan Ferrari, lors d’une conférence téléphonique visant à discuter des résultats du quatrième trimestre de son exercice 2021. Ses ventes ont reculé de 5% à 79 millions $ pour le trimestre clos le 31 août. M. Ferrari a souligné que les revenus demeuraient «nettement supérieurs» à ceux enregistrés avant la pandémie, qui s’élevaient à 56 millions $ au quatrième trimestre 2019. «Ça démontre la résilience du modèle d’entreprise tandis qu’il y avait une énorme demande latente pour les activités extérieures», avance-t-il. L’argument n’a pas convaincu les investisseurs. Avant la publication des résultats, les analystes interrogés par Refinitiv anticipaient en moyenne des revenus de 91 millions $. Luke Hannan, de Canaccord Genuity, estime que les résultats du quatrième trimestre sont «significativement» inférieurs aux attentes. 
  • Le géant québécois de l’alimentation Metro (MRU.TO, 66,22 $) rapporte mercredi que son bénéfice net pour le quatrième trimestre de l’exercice financier 2021 s’est élevé à 194 millions $, ou 0,79 $ par action diluée, alors qu’il s’était établi à 186,5 millions $, ou 0,74 $ par action diluée lors du trimestre correspondant de 2020. Pendant la même période, le bénéfice net ajusté a progressé, de 193,1 millions $ à 200,6 millions $. Quant au chiffre d’affaires du quatrième trimestre de Metro, il a reculé de 4,144 milliards $ à 4,092 milliards $ d’une année à l’autre. Comparativement au dernier trimestre de 2020, le chiffre d’affaires des magasins d’alimentation comparables a fléchi de 2,9% au quatrième trimestre de cette année. Cependant, le chiffre d’affaires des pharmacies comparables a été en hausse de 4,1% au cours de la même période. Pour l’ensemble de l’exercice 2021, Metro a affiché un bénéfice net, un bénéfice net ajusté et un chiffre d’affaires supérieurs à ceux de 2020. Le président et chef de la direction de Metro, Éric La Flèche, estime que l’exercice 2021 a pris fin en force malgré des ventes inférieures considérant que le chiffre d’affaires a été exceptionnel en 2020. Le conseil d’administration a déclaré, le 27 septembre dernier, un dividende trimestriel de 0,25 $ par action, le même montant déclaré au dernier trimestre.
  • Le géant chinois de l’internet Baidu (BIDU, 171,27 $US) a fait état mercredi de 2,3 milliards d’euros de pertes au troisième trimestre, et mis en garde contre les incertitudes liées à l’épidémie de coronavirus. Dans un communiqué, le groupe basé à Pékin a annoncé, pour la période juillet-septembre, des pertes 28 fois plus élevées qu’au deuxième trimestre. Ces pertes, de 16,55 milliards de yuans, soit 2,3 milliards d’euros, sont liées en grande partie à des dépréciations d’investissements, selon l’entreprise. À la même période l’an passé, Baidu affichait un bénéfice de 13,67 milliards de yuans (1,75 milliard d’euros d’alors). Son chiffre d’affaires au troisième trimestre s’établit à 31,9 milliards de yuans (4,4 milliards d’euros), en hausse de 13% sur un an. Il s’agit de son rythme de progression la plus faible depuis le début de l’année. Principal moteur de recherche en Chine, Baidu tire une grande partie de ses revenus de la publicité. L’an passé, le «Google chinois» avait déjà été fortement pénalisé par des baisses de recettes publicitaires, au moment où la pandémie de la COVID-19 refroidissait les annonceurs. 
  • Les utilisateurs d’Uber (UBER, 45,76 $US) dans certaines villes peuvent à nouveau partager une course avec d’autres passagers, pour un prix réduit, une offre qui avait disparu avec les restrictions sanitaires pendant la pandémie. «609 jours plus tard, les trajets partagés sont de retour aux États-Unis», a annoncé mardi sur Twitter Andrew Macdonald, un vice-président du leader mondial de la réservation de voitures de tourisme avec chauffeur (VTC). Pour l’instant, en Amérique, l’option UberX Share (anciennement UberPool) n’est disponible qu’à Miami, en Floride, et les chauffeurs ne peuvent pas accueillir plus de 2 clients en même temps, au lieu de 4 avant la pandémie. Ils doivent tous porter un masque. Uber a aussi réintroduit cette possibilité dans plusieurs autres villes dans le monde, dont Accra, Lagos, Nairobi, Kiev, et des métropoles en Australie. Le groupe californien, qui prévoyait d’atteindre le Graal de la rentabilité au dernier trimestre 2020 a beaucoup souffert de la pandémie. Mais il a en partie compensé ses pertes grâce à des investissements massifs dans la livraison de repas à emporter. Du côté des trajets avec chauffeurs, la demande est revenue plus vite que les conducteurs. Les délais d’attente se sont allongés en conséquence et les prix ont grimpé.

 

À surveiller

Callaway Golf (ELY-Nasqaq, 30,45 $US): la pandémie a ravivé l’intérêt pour le golf. La pratique de sports individuels extérieurs a connu un engouement particulier au cours des deux dernières années à cause de la pandémie, dont en particulier le golf. Et les équipementiers de ce sport en perte de vitesse depuis plusieurs années en ont profité.

Metro (MRU, 66,22 $): il sera préférable de regarder la tendance sur 2 ans. L’épicier-pharmacien québécois a dévoilé ce matin ses résultats du 4e trimestre. Selon Patricia A. Baker, analyste chez Scotia Capital, les investisseurs doivent porter leur attention sur la tendance des résultats sur 2 ans de façon à normaliser l’impact de la pandémie sur la performance du dernier trimestre.

Argonaut Gold (AR, 3,97 $): le projet Magino pourrait changer la donne, selon l’analyste de Desjardins. Le titre du producteur d’or canadien dont le siège social est au Nevada s’est apprécié de plus de 30% depuis à peine 2 semaines, et il semble que l’annonce faite hier par la direction concernant le projet Magino ne soit pas étrangère à cette hausse.

 

Pour consulter les titres du 18 novembre, cliquez suivant.

18 novembre

 

Dans les Titres en action:

  • La chaîne américaine de pharmacies et de produits cosmétiques CVS (CVS, 94,70 $US) a annoncé jeudi qu’elle allait fermer 900 enseignes dans les trois prochaines années, soit près de 10% de ses magasins aux États-Unis. Le processus commencera à partir du printemps 2022 au rythme de 300 fermetures par an. «Nos magasins restent cruciaux pour notre stratégie et pour l’identité de notre entreprise», a déclaré Karen Lynch, la PDG de CVS, citée dans un communiqué. CVS dit s’attendre à une perte de la valeur de ses actifs de 1 à 1,2 milliard de dollars américains, ou 56 à 67 cents par action, au 4e trimestre de cette année en raison des fermetures prévues. Pour Neil Saunders de GlobalData, la décision de CVS montre à quel point le groupe a négligé l’aménagement de ses enseignes au cours des dernières années. Même après les fermetures, CVS, qui compte actuellement plus de 9 900 magasins aux États-Unis, devrait rester la première chaîne de pharmacies du pays devant Walgreens.
  • Le constructeur américain Ford (F, 19,78 $US) a annoncé jeudi avoir noué une collaboration stratégique avec le fabricant de semi-conducteurs GlobalFoundries (GFS, 65,25 $US) afin d’augmenter la disponibilité de ces composants essentiels pour le secteur automobile, mais compliqués à se procurer depuis le début de l’année. L’accord prévoit d’une part que GlobalFoundries fournisse plus de puces électroniques à Ford dans l’immédiat, précise un communiqué commun. Il prévoit d’autre part la mise en place d’une unité conjointe de recherche et développement pour répondre à «la demande croissante» pour les semi-conducteurs dans le secteur, pour les systèmes d’aide à la conduite, de gestion des batteries ou de connexion de la voiture aux réseaux par exemple. Les deux entreprises vont aussi étudier la possibilité «d’étendre les capacités de fabrication de semi-conducteurs» sans toutefois expliciter sous quelle forme. L’accord avec GlobalFoundries «n’est qu’un début» ainsi qu’«un élément clé de notre plan visant à intégrer toutes les technologies et capacités essentielles» au sein de l’entreprise, a-t-il ajouté. L’ensemble du secteur automobile est perturbé depuis janvier par une pénurie de semi-conducteurs qui empêche, à plus ou moins grande échelle, certains groupes de finaliser la fabrication de véhicules. 
  • Le géant chinois du commerce en ligne Alibaba (BABA, 143,65 $US) a annoncé jeudi un recul de 81% de son bénéfice net au deuxième trimestre de son exercice décalé, au moment où Pékin serre la vis au secteur du numérique. Pour les trois mois de juillet à septembre, le groupe a fait état de 5,37 milliards de yuans (741,3 millions d’euros) de profit, contre 28,7 milliards de yuans un an plus tôt sur la même période. Son chiffre d’affaires est en revanche en hausse de 29% sur un an, à 155 milliards de yuans (21,4 milliards d’euros) pour la période juillet-septembre. Poids lourd du secteur et longtemps montré en exemple, Alibaba a été le premier à subir la vindicte des autorités, au moment où Pékin durcit la réglementation autour du numérique. Au printemps, le groupe fondé par le milliardaire Jack Ma a ainsi été condamné à une amende de 2,3 milliards d’euros pour entrave à la concurrence. Plombé par cette amende record, Alibaba avait enregistré près d’un milliard d’euros de pertes trimestrielles. Les entreprises du numérique ont longtemps bénéficié en Chine d’une législation relativement laxiste, en particulier sur les données personnelles. Mais les autorités se montrent ces derniers mois particulièrement intransigeantes vis-à-vis de pratiques jusque-là tolérées et largement répandues. 
  • La chaîne américaine de cafés Starbucks (SBUX, 112,36 $US) a ouvert jeudi à New York, en partenariat avec Amazon (AMZN, 3 617 $US), un magasin à mi-chemin entre le café et l’épicerie, où les clients peuvent faire leurs emplettes sans avoir à passer en caisse. Le lieu, situé au sud-est de Central Park, sur l’île de Manhattan, utilise la technologie «Just Walk Out» des épiceries Amazon Go, où les achats sont enregistrés par capteurs et caméras. En entrant dans ce café hybride, les clients pourront soit récupérer au bar une boisson commandée via l’application Starbucks, soit accéder à la supérette grâce à un code envoyé sur leur téléphone intelligent par Amazon, à leur carte de crédit ou même à la paume de leur main s’ils utilisent le service de paiement «Amazon One». L’épicerie propose une sélection d’articles disponibles dans les cafés Starbucks (bouchées aux œufs sous vide, sandwiches pour le petit-déjeuner, boîtes de protéines), les magasins «Amazon Go» (salades, sandwiches, en-cas) ainsi que des produits de traiteurs et de restaurants locaux. Starbucks et Amazon envisagent d’ouvrir deux autres espaces similaires l’an prochain, dont l’un sera situé dans l’immeuble du New York Times au cœur de Manhattan. En juin 2020, le patron du groupe, Kevin Johnson, avait annoncé que Starbucks allait fermer jusqu’à 400 lieux au cours des 18 mois à venir et se recentrer sur les points de vente à emporter, qui représentaient déjà 80% des transactions dans les cafés de la marque aux États-Unis.
  • Le groupe de gaz industriels Air Liquide (AI.PA, 152,38 €), qui se décrit comme une start-up centenaire, cherche à rajeunir son actionnariat individuel et voudrait le développer au-delà des 33% du capital aujourd’hui aux mains de ces investisseurs particuliers. «Si nous ne faisons rien, la population d’actionnaires individuels va diminuer avec le temps», a dit le directeur du service actionnaires du groupe, Patrick Renard. L’âge moyen des actionnaires s’élevait à 59 ans en 2020. Le groupe se dit «très attaché à maintenir, voire augmenter» la part des investisseurs particuliers dans le capital «pour des raisons stratégiques». Selon une étude d’Air Liquide sur le rapport entre les jeunes et l’actionnariat, 38% des Français de 25 à 40 ans ne détenant pas d’actions souhaitent investir en Bourse dans les années à venir. Pour remédier à la situation, Air Liquide a lancé l’été dernier sa première campagne marketing direct sur les réseaux sociaux «pour trouver des jeunes intéressés pour devenir actionnaires» en s’inspirant des méthodes des banques en ligne: «On peut ouvrir un compte titre en trois clics» sur le site du groupe, dit M. Renard.

 

À surveiller

Marché Goodfood (FOOD, 5,30 $): le titre chute de 26% à la suite de résultats décevants. La divulgation des résultats du 4e trimestre terminé le 31 août a été si mal reçue hier par les investisseurs que le cours de l’action perdait près de 35% de sa valeur à un moment durant la séance de négociations. Le titre s’est quelque peu repris en fin de séance, mais il a néanmoins clôturé la journée avec un recul de plus de 26%.

Groupe Aecon (ARE, 17,16 $): l’analyste de Desjardins rassuré quant à l’impact du REM. Une bonne relation entre la firme de construction dont le siège social est à Toronto et la Caisse de dépôt réconforte Benoit Poirier, analyste chez Desjardins, quant au succès de l’exécution des travaux.

Loblaws (L, 97,08 $): hausse significative du cours cible de l’analyste de la Banque Nationale. La chaîne de supermarchés présente en Ontario et au Québec (Provigo) a connu à nouveau de bons résultats pour son 3e trimestre, ce qui amène Vishal Shreedhar, analyste à la Banque Nationale à hausser son cours cible de 88 $ à 107 $. Il réitère sa recommandation de «surperformance».

 

Pour consulter les titres du 19 novembre, cliquez suivant.

19 novembre

 

Dans les Titres en action:

  • Air Transat (TRZ, 5,16 $) et WestJet (ONEX.TO [compagnie mère], 93,38 $) ont convenu de coopérer sur un accord de partage de codes pour les voyages transatlantiques. L’accord permettra aux voyageurs de réserver des vols vers l’Europe impliquant les deux compagnies aériennes sur un seul billet, avec des bagages enregistrés jusqu’à la destination finale. En vertu de l’entente, le code de WestJet sera apposé sur les vols d’Air Transat vers certaines villes d’Europe, tandis que le code d’Air Transat sera placé sur certains vols de WestJet en Amérique du Nord, afin d’offrir des itinéraires transatlantiques en correspondance. L’accord entrera en vigueur au début de l’année prochaine, sous réserve de l’obtention des approbations réglementaires habituelles. L’arrangement intervient alors que les compagnies aériennes cherchent à se remettre des lourdes conséquences de la pandémie sur l’industrie des voyages. Plus tôt cette année, un accord qui aurait permis à Air Canada d’acquérir la société mère d’Air Transat, Transat AT, a été annulé après que la Commission européenne a indiqué qu’elle n’était pas disposée à l’approuver.
  • Air Canada (AC.TO, 23,77 $) a annoncé qu’elle se retire du soutien financier du gouvernement fédéral, car sa situation financière s’est améliorée. La compagnie aérienne affirme que sa reprise après la pandémie de COVID−19 se poursuit et qu’elle est en mesure de progresser en raison de l’amélioration de ses liquidités. Air Canada a conclu un accord de 5,9 milliards de dollars avec Ottawa en avril pour un programme d’aide qui a mis des prêts à la disposition de la compagnie aérienne, mais a également plafonné la rémunération des dirigeants. Dans le cadre de ce programme, Air Canada s’était également engagée à rétablir le service dans certains aéroports régionaux. La compagnie aérienne affirme avoir emprunté environ 1,2 milliard de dollars dans le cadre d’une facilité de crédit dédiée au remboursement des clients, tandis que les autres prêts disponibles dans le cadre du programme n’ont pas été utilisés. Air Canada indique que «la somme utilisée pour le remboursement des billets non remboursables sera remboursée par Air Canada, majorée d’intérêts payés trimestriellement, conformément aux modalités de l’accord conclu par Air Canada.» Le programme d’aide a également permis au gouvernement fédéral d’acheter pour 500 millions de dollars d’actions de l’entreprise et Ottawa détiendrait toujours ces actions selon Air Canada. Air Canada a également accepté d’émettre des bons de souscription d’actions au gouvernement. L’entreprise indique qu’avec la «résiliation des facilités de crédit d’exploitation, la moitié de ces bons de souscription, dont les droits ne sont pas encore acquis par le gouvernement, ont été immédiatement annulés.»
  • La compagnie irlandaise à bas coûts Ryanair (RYA.L, 16,00 €), dont la cotation principale est à Dublin, va retirer en décembre son titre de la Bourse de Londres, invoquant des coûts élevés et des volumes d’échanges faibles après le Brexit. «Ryanair a décidé de demander l’annulation de la cotation à Londres, car le volume de négociations ne justifie pas les coûts liés à une telle cotation», a annoncé la compagnie aérienne «low cost» dans un communiqué vendredi. Depuis que la Grande-Bretagne a officiellement quitté l’Union européenne au début de l’année, Londres a été plusieurs fois doublée par Amsterdam en termes de première place européenne du courtage d’actions. L’annulation des actions «sera effective à 3h00, heure du Québec, le 20 décembre 2021 et le dernier jour d’échange à la Bourse de Londres sera le 17 décembre», a précisé Ryanair dans son communiqué. La compagnie conserve «une cotation primaire sur le marché réglementé d’Euronext Dublin, qui offre aux actionnaires le niveau de protection le plus élevé», a indiqué Ryanair dans un communiqué. «Pour une entreprise qui met l’accent sur les coûts, il semble que les dépenses liées au maintien d’une cotation au Royaume-Uni ne valent plus la peine», a commenté Russ Mould, analyste de AJ Bell. Mais selon lui Ryanair cherche aussi «désespérément» à conserver un actionnariat majoritairement européen après le Brexit, alors que les transporteurs aériens proposant des services en Europe sont tenus d’être contrôlés à au moins 50% par des actionnaires de l’UE.
  • Le réassureur suisse Swiss Re (SREN.SW, 97,30 $CHF) a scellé un partenariat avec le géant chinois de l’Internet Baidu (BIDU, 154,23 $US) dans les véhicules autonomes, annonce-t-il vendredi. Ce partenariat avec le moteur de recherche chinois, également actif dans les technologies pour véhicules autonomes, vise à faire avancer les recherches sur la gestion des risques et mise au point de produits d’assurance pour ce nouveau segment de la mobilité, a-t-il indiqué dans un communiqué, sans en dévoiler les détails financiers. «En associant nos connaissances et expériences respectives, nous espérons explorer et développer ensemble des produits et solutions innovantes», a déclaré Russell Higginbotham, directeur de la réassurance pour l’Asie, cité dans le communiqué. L’objectif est notamment de comprendre et analyser la façon dont les véhicules autonomes perçoivent leur environnement, traitent l’information et y réagissent afin de mettre au point des produits d’assurance adaptés, a de son côté précisé Andrea Keller, la directrice de l’automobile et solutions de mobilité du réassureur suisse. «Notre objectif est de comprendre comment ces véhicules se comportent différemment de ceux conduits par des humains et de quantifier ces différences», a-t-elle expliqué dans le communiqué, afin de faire progresser la couverture d’assurance dans ce segment de la mobilité en plein essor. La première étape de cette collaboration avec Baidu dans les véhicules autonomes s’est déjà traduite par la mise au point de prestations d’assurance pour les services de voituriers du groupe chinois, appelés Apollo Valet Parking. Les projets futurs porteront entre autres sur les plateformes informatiques pour la conduite autonome, les cockpits intelligents et les taxis sans chauffeurs dits robotaxis. 

 

À surveiller

Parkland Corporation (PKI, 34,49$): la société se trouve à un pivot. Le détaillant de carburant Parkland Corporation a fait tout un tour de piste de son modèle d’affaire aux investisseurs au lendemain du dévoilement de ses résultats, qui a fort plu à l’analyste de Desjardins, David Newman.

Marché Goodfood (FOOD, 5,30$): des résultats difficiles à avaler. L’effet de levier de ses revenus a été moins important qu’attendu, les coûts liés à la main-d’œuvre et à l’approvisionnement ont augmenté, sa chaîne d’approvisionnement a éprouvé des difficultés, ses investissements dans son service d’épicerie ont haussé… le dernier trimestre n’a pas été de tout repos pour les revenus de Marché Goodfood et ça se répercute dans les résultats qu’elle a dévoilés cette semaine.

George Weston (WN, 140,98 $): l’impact de la cession de Weston Foods. Selon Irene Nattel, de RBC Marchés des capitaux, les investisseurs devraient demeurez attentifs aux projections liées aux cessions des activités de produits frais et surgelés et boulangerie à température ambiante de Weston Foods annoncées le 26 octobre et le 15 novembre respectivement.